samedi 5 novembre 2011

Mode d'emploi

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Notre Carnet de Voyage à Zanzibar

Enfin ! L'automne est là et le mauvais temps avec... nous prenons donc un moment pour poster quelques sensations de notre voyage de noces à Zanzibar sous la forme d'un carnet de voyage. Nous vous remercions encore pour ce superbe voyage, à la fois dépaysant et enrichissant ...

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Samedi 20 aout
Ca y est c’est le grand jour, nous partons à Zanzibar ! Une journée de voyage nous attend :  Lyon  / Paris / Addis Ababa, Ethiopie / Zanzibar, Tanzanie.
Pour ceux qui ne savent toujours pas où se situe Zanzibar voici un petit plan …




Dimanche 21
Après quatre heures à se geler à Addis Ababa, eh ! oui fin des clichés, il peut faire froid et pleuvoir en Afrique. Nous redécollons pour le soleil de Zanzibar !

C’est le moment météo du carnet de voyage :  Plein hiver là-bas. 28° au milieu de la journée. Du soleil et du ciel bleu presque tout le temps. Deux averses ont pimenté notre voyage, 15 minutes et c’est fini ! Le vent est fort aussi, surtout au moment du déjeuner, ce qui n’a pas dérangé Simon, en bon normand !

Pour ceux qui sont déjà accros, ou ....maman, d’autres infos sur Zanzibar, http://www.routard.com/guide/zanzibar/844/carte_d_identite.htm

Un aperçu de notre premier hôtel, dans lequel nous sommes restés cinq jours. Dont deux agréablement occupés par une tourista : autant vous dire qu'on a bien profité de la chambre !!!!  


 Super bien placé en plein coeur de Stone Town, la plus grande ville de l'île (côte ouest),  nous avons pu explorer toute la ville à pied, d’abord avec un guide pour nous repérer car Stone Town est un vrai labyrinthe !
Suite au prochain épisode ...

Stone Town

Nous en étions donc à Stone Town, la ville où nous avons passé 5 jours...
Un peu de culture (c'était d'ailleurs le but de notre séjour dans ce coin de l'île) : Stone Town a été classée au patrimoine de l’UNESCO en 1985. Son nom lui vient du fait que ses maisons ont été construites en pierres de corail au 19ème siècle sous le protectorat anglais et/ou le sultanat d'Oman (ça on n'a pas très bien retenu).

Trois choses réputées à Stone Town : les portes des maisons (synonymes de richesse à l'époque), les petites rues inaccessibles aux voitures mais traversées par de très nombreux vélos, motos et mobylettes (limite dangereux !!), et les magnifiques couchers de soleil sur l’océan indien.






Zanzibar s’étant fortement inspiré du modèle communiste lors de la révolution de 1964, la plupart des maisons et bâtiments sont possédés par l’état qui les loue à la population mais n’a pas les moyens de les rénover. De fait beaucoup de maison sont délabrées. Seuls quelques hôtels rachetés par des étrangers ou certains batiments gouvernementaux ont une bonne présentation. Il n'y aura pas de photos des beaux palais et jardins du gouvernement car nous avons voulu éviter les geoles zanzibarites mais le contraste avec le reste de la société est saisissant !
Quelques monuments :



The house of Wonder (la maison des merveilles) ancienne demeure des sultants transformée en musée de Zanzibar. Elle porte ce nom car c'était la première en afrique de l'est à avoir un ascenseur ! Et la première de l'île à avoir l'électricité.





La maison de naissance de Freddy Mercury, transformé en magasin de souvenirs ! Bon on avoue on est pas rentré, le guide était un peu deçu !! Et on n'a pas fait de photos ...

Le marché aux esclaves et l'église anglicane : Zanzibar a longtemps été aux mains du consulat d'Oman qui pratiquait le commerce d'esclaves. Les Zanzibarites gardent une rancune assez tenace envers les arabes. Le marché aux esclaves est un mémorial de cette funeste époque. On y voit une des cellules sans fenêtres d'une dizaine de mètres carrés où s'entassaient une vingtaine de personnes. Le poids de l'histoire se fait sentir ...
C'est le Dr Livigston qui a oeuvré à l'abolition de l'esclavage à Zanzibar et une église anglicane fut construite sur le lieu du marché aux esclaves. Symbole de la grande efficience des batisseurs locaux, les pilliers de l'église ont été montés à l'envers ! 

 Les religions cohabitent plutôt bien à Zanzibar.Juste à côté de cette église, il y a une mosquée.  90% de la population est de confession musulmane. Il y a énormément de mosquées et tout autant de muezzins qui appellent à la prière ... autant vous dire qu'aux heures clés c'est une sacrée cacophonie !!
Durant notre voyage, les musulmans fêtaient la "sainte période du ramadan". Et donc il était demandé aux touristes par solidarité de ne pas manger, boire, macher de chewing-gum dans les rues la journée. Marie devait également cacher ses épaules, ses coudes et ses jambes, ce qui n'a pas toujours été très confortable par 40°.

 Pour conclure, Stone Town est une ville pleine de contrastes, belle mais pauvre. Les touristes y sont bien accueillis voire même très sollicités par la population qui peut à certains moments confondre touristes avec banque nationale. Nous vous parlerons plus tard de sa gastronomie et bien sur du sport national, le marchandage. Suite au prochain épisode

Gastronomie

Un petit point gastronomie !  A Zanzibar, on mange très épicé avec des influences indiennes et beaucoup de produits de la mer. La viande coûte cher et le riz est dans tous les plats.




On a découvert un petit marché nocture où locaux et touristes se retrouvent à la tombée de la nuit (18h30). Au programme, brochettes de poissons, samosas en tout genre, pizzas, galettes, cuits au barbecue, le tout pour trois fois rien si on marchande bien. Et voilà un bon petit repas chaud face à la mer... Bon c'est peut être ça qui nous a rendu malade en fait, mais quelle bonne ambiance.



Nous nous sommes aussi offert un bon diner dans le meilleur restaurant Swahili de la ville. Au moment d'aller réserver avec notre anglais approximatif, la patronne nous dit "mais vous êtes français vous ?" ... elle l'était aussi !! Nous avons bien mangé : mon entrée "calamar aux fruits de la passion"... et la soirée a été rythmée par un groupe de musique traditionnelle "taarab". Voici un lien pour un aperçu http://www.youtube.com/watch?v=fVPGj1rLxxc . Et clou du spectacle, ils ont joué version swahili, le canon de Pachelbel que Paul a joué à notre entrée à la mairie .... C'était THE signe !!!


Un petit point boisson ... très peu d'alcool car c'est une région musulmane, mais beaucoup beaucoup de sodas. Il y a une usine coca cola sur l'île. La bière tanzanienne "Kilimanjaro" est servie dans les restaurant.

Et sinon, les gens ne connaissaient pas Mc Do !!! Il n'y en a pas sûr l'île ... C'est fou non ???

Et puis on s'est régalé de fruits...

Nage avec les dauphins et snorkeling

Zanzibar possède une faune et une flore maritime très riche. Grâce à vos généreuses contributions,  nous avons pu faire 2 excursions : une "nage avec les dauphins" et une séance de Snorkeling.
Une colonie d'une trentaine de dauphins ont élu domiciles à proximité de l'île. Il est possible d'aller les observer voire même de nager avec eux mais la réussite de l'expédition est conditionnée par un beau temps et surtout beaucoup de chance. Pour notre part, l'expédition a été un peu décevante. Nous avons croisé 3 dauphins qui allaient rejoindre la colonie en pleine mer. Cependant, ils étaient assez pressés voire autistes comme l'a diagnostiqué Marie et nous n'avons pu avoir de vrais contacts avec eux malgré nos multiples essais. Notons qu'après une demi-heure nous avons été rejoints par des hordes de touristes italiens tous plus discrets et raffinés les uns que les autres et nous avons alors pu comprendre le manque d'enthousiasme des dauphins. L'aventure restera toutefois un assez bon souvenir.




Le snorkeling : Pour ceux qui, comme nous avant le voyage, n'ont aucune idée de ce que peut être ce truc, voici la définition de wikipédia : La randonnée subaquatique ou en anglais snorkeling, est une activité de loisir aquatique où l'on peut observer les fonds marins en nageant à la surface de l'eau. On utilise généralement un masque, un tuba (snorkel en anglais), des palmes et éventuellement une combinaison de plongée.


Un plongeur près des îles Fidji.
Pas découragés par notre nage avec les dauphins, nous retentons une aventure maritime avec cette fois-ci l'exploration des fonds marins. Direction la petite île de Mnemba, à une petite heure en bus de notre hôtel qui est entourée d'une barrière de corail très riche et très poissonneuse. Pour s'y rendre, un périple en bus sur une petite piste pleine de trous assez interminable. Cette fois encore nous ne sommes pas vernis car nous avons été accueillis par une forte pluie sur la plage qui a bien sûr trempé nos habits "secs". Par contre, nous sommes plus chanceux avec les accompagnateurs car un des guides est français, savoyard plus exactement, ce qui nous a permis de ne pas être complètement perdus pendant les interminables explications techniques.
Par chance, une fois arrivés sur le site de plongée, le temps est un peu meilleur et l'eau reste, malgré le mauvais temps, à au moins 25 degrés. Nous plongeons avec un groupe d'une dizaine de personnes. Une fois familiarisés avec la technique du tuba, l'expérience devient assez inoubliable. Il y a des dizaines et des dizaines de poissons, de toutes les couleurs. Malgré les photos et films vus à la télé je n'imaginais pas que cela puisse être aussi impressionnant, rien à voir avec la plongée que j'avais faite à Noirmoutiers où la faune locale était plus rare et moins colorée même si déjà c'était très joli.
Nous avons même pu recroiser un dauphin et son petit et les approcher d'un peu plus près même s'ils ont gardés leurs distances. Et bien, on ne dirait pas comme ça mais un dauphin c'est grand et gros !!!
Petites mésaventures, je me suis fait piquer par une méduse (rassurez-vous, ils avaient une pommade spéciale et je me suis donc pas uriné dessus) et Marie a eu un mal de mer assez terrible. Par solidarité je ne dévoilerai pas les photos où on la voit toute verte mais je vous laisse imaginer.
Pour la petite histoire, notre guide nous a expliqué qu'il y a encore 2 ans, le site où nous avons plongé était visité par de très nombreuses tortues mais que l'appétit féroce des habiants locaux pour ces tortues a provoqué une raréfaction importantes de ces animaux.
Fin du trip maritime, la suite prochainement

La flore et la faune terrestre

Nous avons effectué 2 excursions à la rencontre de la flore et la faune locale (terrestres cette fois-ci) : La visite de la foret de Jozani et le Spice Tour.



Il y a un parc protégé à Zanzibar, la forêt de Jozani où résident notamment une espèce de singes qui ne vivent plus que sur l'île, les colobes rouges. Il n'y a pas besoin d'être indiana jones où je ne sais quel grand aventurier pour les observer tant les collobes sont nombreux dans la foret (environ 2000). Il faut dire qu'ils n'ont quasiment pas de prédateurs et que les habitants des alentours sont payés pour ne pas les tuer, car le tourisme lié aux singes rapporte beaucoup d'argent au gouvernement.L'expédition a été assez sympa car les singes sont très peu craintifs et assez actifs. Profitons de cette articles sur la faune locale pour parler des vaches. A notre grand étonnement, toutes les vaches de Zanzibar ont une bosse importante au niveau de la nuque, d'ailleurs assez pratique pour l'attelage. Nous avons même appris à nos guides qu'il existe des vaches sans bosse.


Nous sommes également allés nous promener dans une foret de palétuviers qui poussent dans l'eau de mer.



Le spice tour :

Zanzibar est le principal exportateur de Clou de girofles et en général un grand producteur d'épices. Nous sommes donc allés visiter une plantation d'épices. Nous avons découverts que contrairement à la population locale nous connaissons très mal les épices. Quelques petites découvertes : le poivre et la vanille sont des lianes, les plantes à ananas sont surprenantes...Et bien sur le sport local, la récolte des noix de cocos, nous vous laissons apprécier la vidéo.


Nous avons gardé un souvenir mitigé de cette excursion, non pas parce que les plantations d'épices ne sont pas intéressantes, mais plutôt à cause du statut de touristes consommateurs qu'on nous a accolé et dans lequel nous étions assez peu à l'aise.
Ne manquez pas le prochain épisode : Le marché et les bus locaux, les fameux DALA DALA.

vie quotidienne...

Comme nous l'avons déjà dit, il est difficile de prendre des photos des habitants, des maisons... Nous avons quand même réussi à "voler" quelques clichés pour revivre les émotions que nous avons ressenties dans la ville.

  Les rues, assez délabrées, labyrithiques qui contrastent beaucoup avec les "places à touristes"
Une vue de la ville du toit de notre hôtel


Le marché, coeur de la ville. C'est dommage que nous n'ayons pas pu transporter avec nous un peu de la bonne odeur du marché à poissons, à 12h en plein soleil, sans système de réfrigération bien sûr.. Mais ça vaut le coup d'oeil, nous avons vu plein d'espéces de poissons, des requins énormes. Bon, pour dire vrai, je (Marie) n'en ai reconnu aucun et les noms anglais ne nous ont pas aidés.
Sinon, le marché c'est aussi des couleurs superbes de fruits et d'épices, des frippes, de la viande (très chères là bas, et les conditions de stockage laissent aussi à désirer)...



Et puis je voulais faire un topo sur les dala-dala(s) : découverte n°1 du séjour pour moi ! Les dala-dalas sont les minibus assurant le voyage de la grande ville à tous les coins de l'île pour à peine 1 dollar. A vide, ça donne ça :  



Mais autant vous dire qu'ils ne sont jamais vides. Montent dedans, des gens qui lèvent le bras sur le bord de la route (il n'y a pas d'arrêt de bus à l'occiddentale). Si quelqu'un descend au même endroit, tant mieux, sinon, on pousse un peu et on arrive à rentrer. Parfois il y a 15/20 personnes dans le dala-dala. mais ce n'est pas tout, il y a aussi, les sacs de riz (au dessus le plus souvent), les poulets vivants (en cage au dessus ou à l'intérieur), et toutes les autres choses transporantables.  Ajoutons qu'ils roulent comme des fous mais apparemment il n'y a pas tant d'accidents que ça.

Fin de la première semaine

2e semaine

Après avoir découvert la culture locale, nous avons expérimenté l'hôtel de luxe, "cliché honey moon". Et bien, sans langue de bois on peut dire que c'est là qu'on a le plus profité, qu'on s'est reposés et détendus...Vous comprendrez en voyant les photos que l'environnement facilitait la détente. Il faut dire aussi que ça nous a fait du bien d'être dans un univers davantage connu avec de la nourriture qui avait moins de risque de nous rendre malade...


Vue de la chambre

notre appartement

trop de soleil tue les photos ...

 

Au programme de nos épuisantes journées :

Petit déjeuner à volonté avec au choix crepes, bacon grillé, omelettes, céréales, fruits des tropiques, etc.

Ensuite, il s'agissait de trouver l'employé qui mettait en place nos transats pour la journée (il nous interdissait de le faire tout seuls, cela aurait pu nous fatiguer....).

Puis première séance de lecture ou mots croisés, en maillot de bain avec vue sur la plage paradisiaque. Attention, tâche ô combien fatiguante, il fallait se passer de la creme solaire.

Après, venait Henry, le beau (d'après Marie) prof de sport qui venait harceler Marie pour la trainer au cours de water-aérobic. Il faut dire que ça devait lui changer des mamies allemandes mais ça ne concurrençait pas (toujours d'après Marie) les italiennes en string.

Puis, relarve sur le transat avant d'aller manger. Là,  c'est le moment du vent. Attention, il faut parfois envisager le tee-shirt puis le rapatriement dans la chambre ........pour regarder ncis en français sur voxafrica.

Après la sieste, c'est marée haute, et Simon profitait des grandes vagues pour aller nager un peu.



Enfin, summum de la journée, la séance de volley, occasion pour Simon de se mesurer aux italiens (qui jouent en slip de bain kangourou blanc, et oui on a la classe ou on l'a pas). Seul problème, quand tu ne joues qu'avec des italiens tu ne sais même pas si tu gagnes ou si tu perds car ils se crient tous dessus, et surtout, tu ne sais même pas si le match est fini où si c'est la mi-temps. Solution la plus facile, tu tentes de demander avec ton anglais approximatif et on te réponds en italien et tu fais semblant d'avoir compris. Ou alors tu vas voir ta femme qui fait ses mots-croisés et tu vas regarder le terrain de volley toutes les 5 minutes au cas où.
Si si c'est Simon en jaune !!

> Ensuite, c'est la nuit et on se prépare pour aller manger. Douche, pschitt moustique et direction le buffet du soir avec......animations. C'est là que Simon a tenu un énorme serpent autour du cou. Nous nous sommes également régalés avec les buffets à volonté et avons tenté de reprendre les kilos perdus suite à la tourista...Certes on a encore fait des expériences, genre la soupe hypra épicée au calamar. Nos palais s'en rappellent encore.

Petite variante dans nos journées, la promenade à marée basse sur une idée originale de Simon qui voulait rejoindre le banc de sable à l'horizon. Ballade somme toute sympathique jusqu'à ce que l'on retire nos sandales pour mieux marcher dans l'eau et que Marie pose le pied dans un champ d'oursin...Elle en fait encore des cauchemards.

Autre variante, les soirées thématiques mariage avec des francophones en voyage de noces. Quel bonheur de parler français des fois et de voir du monde aussi !

Essai sportif, le water-polo car Henry, le beau prof de sport manquait de monde et a fait ses yeux doux à Marie. Résultat, nous deux coulant plus que nageant face à des italiens survoltés et surentrainés. Mémorable.

Parlons des italiens justement. Sur l'ile de Zanzibar, circule l'été une espèce endémique : le rital. De nature bruyante et exhibitionniste, il ne respecte pas les codes en vigueur pour les autres espèces. Et surtout il se fait remarquer. Si tu fais une partie de volley très disputée et qu'enfin tu comprends que tu gagnes après avoir enchainé trois smatches d'affilée, qui a la bonne idée lorsque le ballon atteri dans l'eau, de sauter par dessus la digue plutôt que de prendre les escaliers et donc de s'ouvrir le pied ? Un italien bien sur qui a fini son séjour en béquille. Comme quoi le proverbe quand tu n'as pas de tête, tu as des jambes ne s'applique pas à Zanzibar.
Il y a tellement d'italiens à Zanzibar (ils ont même des vols directs depuis Rome les veinards) que les locaux ont rebaptisé une de leur ville en "nouvelle Rome".

Passons à la minute culturelle de la 2e semaine : nous sommes allés visitér le village d'à coté et par la même occasion son école. La promenade a été intéressante et ponctuée d'une passionnante discussion en anglais avec Henry, eh oui en plus d'être prof de sport il faisait aussi le guide touristique mais il était toujours aussi bon se sent obligée de préciser mon ex-femme.




Fin de la deuxième semaine !!!