samedi 5 novembre 2011

2e semaine

Après avoir découvert la culture locale, nous avons expérimenté l'hôtel de luxe, "cliché honey moon". Et bien, sans langue de bois on peut dire que c'est là qu'on a le plus profité, qu'on s'est reposés et détendus...Vous comprendrez en voyant les photos que l'environnement facilitait la détente. Il faut dire aussi que ça nous a fait du bien d'être dans un univers davantage connu avec de la nourriture qui avait moins de risque de nous rendre malade...


Vue de la chambre

notre appartement

trop de soleil tue les photos ...

 

Au programme de nos épuisantes journées :

Petit déjeuner à volonté avec au choix crepes, bacon grillé, omelettes, céréales, fruits des tropiques, etc.

Ensuite, il s'agissait de trouver l'employé qui mettait en place nos transats pour la journée (il nous interdissait de le faire tout seuls, cela aurait pu nous fatiguer....).

Puis première séance de lecture ou mots croisés, en maillot de bain avec vue sur la plage paradisiaque. Attention, tâche ô combien fatiguante, il fallait se passer de la creme solaire.

Après, venait Henry, le beau (d'après Marie) prof de sport qui venait harceler Marie pour la trainer au cours de water-aérobic. Il faut dire que ça devait lui changer des mamies allemandes mais ça ne concurrençait pas (toujours d'après Marie) les italiennes en string.

Puis, relarve sur le transat avant d'aller manger. Là,  c'est le moment du vent. Attention, il faut parfois envisager le tee-shirt puis le rapatriement dans la chambre ........pour regarder ncis en français sur voxafrica.

Après la sieste, c'est marée haute, et Simon profitait des grandes vagues pour aller nager un peu.



Enfin, summum de la journée, la séance de volley, occasion pour Simon de se mesurer aux italiens (qui jouent en slip de bain kangourou blanc, et oui on a la classe ou on l'a pas). Seul problème, quand tu ne joues qu'avec des italiens tu ne sais même pas si tu gagnes ou si tu perds car ils se crient tous dessus, et surtout, tu ne sais même pas si le match est fini où si c'est la mi-temps. Solution la plus facile, tu tentes de demander avec ton anglais approximatif et on te réponds en italien et tu fais semblant d'avoir compris. Ou alors tu vas voir ta femme qui fait ses mots-croisés et tu vas regarder le terrain de volley toutes les 5 minutes au cas où.
Si si c'est Simon en jaune !!

> Ensuite, c'est la nuit et on se prépare pour aller manger. Douche, pschitt moustique et direction le buffet du soir avec......animations. C'est là que Simon a tenu un énorme serpent autour du cou. Nous nous sommes également régalés avec les buffets à volonté et avons tenté de reprendre les kilos perdus suite à la tourista...Certes on a encore fait des expériences, genre la soupe hypra épicée au calamar. Nos palais s'en rappellent encore.

Petite variante dans nos journées, la promenade à marée basse sur une idée originale de Simon qui voulait rejoindre le banc de sable à l'horizon. Ballade somme toute sympathique jusqu'à ce que l'on retire nos sandales pour mieux marcher dans l'eau et que Marie pose le pied dans un champ d'oursin...Elle en fait encore des cauchemards.

Autre variante, les soirées thématiques mariage avec des francophones en voyage de noces. Quel bonheur de parler français des fois et de voir du monde aussi !

Essai sportif, le water-polo car Henry, le beau prof de sport manquait de monde et a fait ses yeux doux à Marie. Résultat, nous deux coulant plus que nageant face à des italiens survoltés et surentrainés. Mémorable.

Parlons des italiens justement. Sur l'ile de Zanzibar, circule l'été une espèce endémique : le rital. De nature bruyante et exhibitionniste, il ne respecte pas les codes en vigueur pour les autres espèces. Et surtout il se fait remarquer. Si tu fais une partie de volley très disputée et qu'enfin tu comprends que tu gagnes après avoir enchainé trois smatches d'affilée, qui a la bonne idée lorsque le ballon atteri dans l'eau, de sauter par dessus la digue plutôt que de prendre les escaliers et donc de s'ouvrir le pied ? Un italien bien sur qui a fini son séjour en béquille. Comme quoi le proverbe quand tu n'as pas de tête, tu as des jambes ne s'applique pas à Zanzibar.
Il y a tellement d'italiens à Zanzibar (ils ont même des vols directs depuis Rome les veinards) que les locaux ont rebaptisé une de leur ville en "nouvelle Rome".

Passons à la minute culturelle de la 2e semaine : nous sommes allés visitér le village d'à coté et par la même occasion son école. La promenade a été intéressante et ponctuée d'une passionnante discussion en anglais avec Henry, eh oui en plus d'être prof de sport il faisait aussi le guide touristique mais il était toujours aussi bon se sent obligée de préciser mon ex-femme.




Fin de la deuxième semaine !!!


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